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Plein tarif* : 16,5€
Tarif réduit* : 14,5€
Tarif jeune** : 12,5€
Gratuit : Pour les enfants de moins de 6 ans, les détenteurs d’une carte de ICOM ou ICOMOS et les journalistes

* + de 26 ans, seniors
** étudiants, jeunes (19-25), personnes en situation de handicap, porteurs d’une carte d’invalidité et un accompagnateur, demandeurs d’emploi, porteurs du Pass Education
*** 6-18 ans

Musée Maillol

59-61 Rue de Grenelle,
75007 Paris
FRANCE

Contact et horaires

01 42 22 59 58
Tous les jours de 10h30 à 18h30
Nocturne le mercredi jusqu’à 22h

Accès

Métro 1, 7, 12
Vélib
RER D

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Le café des Frères Prévert est fermé

Guy Peellaert

Bye Bye, Bye Baby, Bye Bye

Guy Peellaert

Bye Bye, Bye Baby, Bye Bye

Commissaire d’exposition :

Claudine Boni

L’exposition réunit 30 planches originales de l’album Rock Dreams paru en 1973 qui a connu un succès considérable en Europe et aux Etats-Unis. « Nous voulions faire un livre avec le rock’n’roll comme toile de fond, mais également avec la vie de tout le monde en toile de fond » (interview, 1977). Peellaert associe plusieurs techniques pour réaliser ces planches sur lesquelles il a travaillé durant trois ans : aérographe, projection de photographies, encre, calques, pastels, … Il réussit à gommer toute présence du geste de la main, livrant une image presque photographique qui joue avec l’effet du réel.

Michael Herr écrit dans la préface de l’album que « ces Rock Dreams sont des rêves européens dont la plupart évoque une Amérique qui n’est pas beaucoup plus qu’un rêve ». « Rock Dreams est rempli d’Annonciations, de Nativités, d’Adorations, de Passions, d’Agonies, de Crucifixions et de Pietà, plein de Tentations, d’Extases », en revanche il n’y a pas de Résurrections car dans le monde du rock’n’roll, il n’existe de résurrection possible que sous la forme du comeback.

Quelle que soit la réalité du personnage évoqué, Janis Joplin, Bob Dylan ou Tina Turner, les figures sont avant tout saisies dans des fictions. Ray Charles conduit une voiture, masquant sa cécité derrière l’écran noir de ses lunettes tandis qu’apparaît Jerry Lee Lewis sur une affiche derrière la jeune mineure en tenue de mariée qui faillit lui coûter sa carrière.

Rock Dreams passe en revue l’imaginaire du rock’n’roll au travers de ses interprètes tout comme Roland Barthes avait analysé les nouveaux mythes du monde moderne dans son célèbre essai intitulé Mythologies.

L’exposition réunit 30 planches originales de l’album Rock Dreams paru en 1973 qui a connu un succès considérable en Europe et aux Etats-Unis. « Nous voulions faire un livre avec le rock’n’roll comme toile de fond, mais également avec la vie de tout le monde en toile de fond » (interview, 1977). Peellaert associe plusieurs techniques pour réaliser ces planches sur lesquelles il a travaillé durant trois ans : aérographe, projection de photographies, encre, calques, pastels, … Il réussit à gommer toute présence du geste de la main, livrant une image presque photographique qui joue avec l’effet du réel.

Michael Herr écrit dans la préface de l’album que « ces Rock Dreams sont des rêves européens dont la plupart évoque une Amérique qui n’est pas beaucoup plus qu’un rêve ». « Rock Dreams est rempli d’Annonciations, de Nativités, d’Adorations, de Passions, d’Agonies, de Crucifixions et de Pietà, plein de Tentations, d’Extases », en revanche il n’y a pas de Résurrections car dans le monde du rock’n’roll, il n’existe de résurrection possible que sous la forme du comeback.

Quelle que soit la réalité du personnage évoqué, Janis Joplin, Bob Dylan ou Tina Turner, les figures sont avant tout saisies dans des fictions. Ray Charles conduit une voiture, masquant sa cécité derrière l’écran noir de ses lunettes tandis qu’apparaît Jerry Lee Lewis sur une affiche derrière la jeune mineure en tenue de mariée qui faillit lui coûter sa carrière.

Rock Dreams passe en revue l’imaginaire du rock’n’roll au travers de ses interprètes tout comme Roland Barthes avait analysé les nouveaux mythes du monde moderne dans son célèbre essai intitulé Mythologies.

Le catalogue

Catalogue

Bye Bye, Bye Baby, Bye Bye,
Guy Peellaert

Guy Peellaert

Bye Bye, Bye Baby, Bye Bye

Commissaire d’exposition :

Claudine Boni

Le catalogue

Catalogue

Bye Bye, Bye Baby, Bye Bye,
Guy Peellaert

L’exposition réunit 30 planches originales de l’album Rock Dreams paru en 1973 qui a connu un succès considérable en Europe et aux Etats-Unis. « Nous voulions faire un livre avec le rock’n’roll comme toile de fond, mais également avec la vie de tout le monde en toile de fond » (interview, 1977). Peellaert associe plusieurs techniques pour réaliser ces planches sur lesquelles il a travaillé durant trois ans : aérographe, projection de photographies, encre, calques, pastels, … Il réussit à gommer toute présence du geste de la main, livrant une image presque photographique qui joue avec l’effet du réel.

Michael Herr écrit dans la préface de l’album que « ces Rock Dreams sont des rêves européens dont la plupart évoque une Amérique qui n’est pas beaucoup plus qu’un rêve ». « Rock Dreams est rempli d’Annonciations, de Nativités, d’Adorations, de Passions, d’Agonies, de Crucifixions et de Pietà, plein de Tentations, d’Extases », en revanche il n’y a pas de Résurrections car dans le monde du rock’n’roll, il n’existe de résurrection possible que sous la forme du comeback.

Quelle que soit la réalité du personnage évoqué, Janis Joplin, Bob Dylan ou Tina Turner, les figures sont avant tout saisies dans des fictions. Ray Charles conduit une voiture, masquant sa cécité derrière l’écran noir de ses lunettes tandis qu’apparaît Jerry Lee Lewis sur une affiche derrière la jeune mineure en tenue de mariée qui faillit lui coûter sa carrière.

Rock Dreams passe en revue l’imaginaire du rock’n’roll au travers de ses interprètes tout comme Roland Barthes avait analysé les nouveaux mythes du monde moderne dans son célèbre essai intitulé Mythologies.

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