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Plein tarif* : 16,5€
Tarif réduit* : 14,5€
Tarif jeune** : 12,5€
Gratuit : Pour les enfants de moins de 6 ans, les détenteurs d’une carte de ICOM ou ICOMOS et les journalistes

* + de 26 ans, seniors
** étudiants, jeunes (19-25), personnes en situation de handicap, porteurs d’une carte d’invalidité et un accompagnateur, demandeurs d’emploi, porteurs du Pass Education
*** 6-18 ans

Musée Maillol

59-61 Rue de Grenelle,
75007 Paris
FRANCE

Contact et horaires

01 42 22 59 58
Tous les jours de 10h30 à 18h30
Nocturne le mercredi jusqu’à 22h

Accès

Métro 1, 7, 12
Vélib
RER D

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George Condo

La civilisation perdue

George Condo

La civilisation perdue

Commissaire d’exposition :

Olivier Lorquin et
Bertrand Lorquin

Le musée Maillol organise d’avril à août 2009 une exposition consacrée à George Condo, artiste new-yorkais dont l’oeuvre s’inspire librement de l’histoire de la peinture occidentale qui l’a précédé. Après avoir travaillé auprès d’Andy Warhol à la Factory, George Condo va s’imposer comme l’un des artistes majeurs de la génération d’où émergent aussi Jean-Michel Basquiat et Keith Haring. Proche de la scène new-yorkaise, il collabore avec le célèbre écrivain William S. Burroughs et le poète Allan Ginsberg dans le cadre d’un film, les Condo painting de John Mac Laughton.

George Condo a investi l’histoire de l’art et chacune de ses toiles correspond avec un tableau préexistant, qui peut être de Manet, Picasso, Francis Bacon, Dali ou Vélasquez. Il se présente comme un artiste hybride qui aurait assimilé l’héritage européen du point de vue de l’Amérique. Il s’appuie sur ce dialogue afin d’apporter un éclairage ou de mettre en perspective sa propre vision des corps et de l’espace dans ses oeuvres. Condo peint des vanités, des natures mortes, des portraits, des nus à l’érotisme provocant, « toute une collection de choses » affirme-t-il.

Enfant du Pop Art, Condo revendique un style emprunté qui provoque un sentiment de « déjà vu « et de « déjà peint ». « Mes oeuvres évoquent Picasso, Matta, les peintres flamands et leurs cousins espagnols Goya et Vélasquez, et aussi tout ce que m’a montré depuis mon enfance ce musée qu’est la télévision. » Il qualifie son art de « réalisme artificiel » et cherche à offrir une reproduction crédible d’un monde factice. Il a, par exemple, emprunté à l’univers des dessins animés le personnage fétiche de Big Red que l’on retrouve dans certaines de ses oeuvres mais … traité comme un Rembrandt ! Félix Guattari disait de lui : « En bref vous réinventez l’art moderne, plutôt que de le nier massivement. Vous démontrez par votre « passage à l’acte » inconscient que la peinture en tant que production de subjectivité est encore et toujours possible à condition d’être reprise à l’état naissant »

L’exposition présentera les oeuvres récentes des deux dernières années, huiles sur toile, d’importants dessins ainsi que des sculptures.

Le musée Maillol organise d’avril à août 2009 une exposition consacrée à George Condo, artiste new-yorkais dont l’oeuvre s’inspire librement de l’histoire de la peinture occidentale qui l’a précédé. Après avoir travaillé auprès d’Andy Warhol à la Factory, George Condo va s’imposer comme l’un des artistes majeurs de la génération d’où émergent aussi Jean-Michel Basquiat et Keith Haring. Proche de la scène new-yorkaise, il collabore avec le célèbre écrivain William S. Burroughs et le poète Allan Ginsberg dans le cadre d’un film, les Condo painting de John Mac Laughton.

George Condo a investi l’histoire de l’art et chacune de ses toiles correspond avec un tableau préexistant, qui peut être de Manet, Picasso, Francis Bacon, Dali ou Vélasquez. Il se présente comme un artiste hybride qui aurait assimilé l’héritage européen du point de vue de l’Amérique. Il s’appuie sur ce dialogue afin d’apporter un éclairage ou de mettre en perspective sa propre vision des corps et de l’espace dans ses oeuvres. Condo peint des vanités, des natures mortes, des portraits, des nus à l’érotisme provocant, « toute une collection de choses » affirme-t-il.

Enfant du Pop Art, Condo revendique un style emprunté qui provoque un sentiment de « déjà vu « et de « déjà peint ». « Mes oeuvres évoquent Picasso, Matta, les peintres flamands et leurs cousins espagnols Goya et Vélasquez, et aussi tout ce que m’a montré depuis mon enfance ce musée qu’est la télévision. » Il qualifie son art de « réalisme artificiel » et cherche à offrir une reproduction crédible d’un monde factice. Il a, par exemple, emprunté à l’univers des dessins animés le personnage fétiche de Big Red que l’on retrouve dans certaines de ses oeuvres mais … traité comme un Rembrandt ! Félix Guattari disait de lui : « En bref vous réinventez l’art moderne, plutôt que de le nier massivement. Vous démontrez par votre « passage à l’acte » inconscient que la peinture en tant que production de subjectivité est encore et toujours possible à condition d’être reprise à l’état naissant »

L’exposition présentera les oeuvres récentes des deux dernières années, huiles sur toile, d’importants dessins ainsi que des sculptures.

Le catalogue

Catalogue

George Condo,
La civilisation perdue

George Condo

La civilisation perdue

Commissaire d’exposition :

Olivier Lorquin et
Bertrand Lorquin

Le catalogue

Catalogue

George Condo,
La civilisation perdue

Le musée Maillol organise d’avril à août 2009 une exposition consacrée à George Condo, artiste new-yorkais dont l’oeuvre s’inspire librement de l’histoire de la peinture occidentale qui l’a précédé. Après avoir travaillé auprès d’Andy Warhol à la Factory, George Condo va s’imposer comme l’un des artistes majeurs de la génération d’où émergent aussi Jean-Michel Basquiat et Keith Haring. Proche de la scène new-yorkaise, il collabore avec le célèbre écrivain William S. Burroughs et le poète Allan Ginsberg dans le cadre d’un film, les Condo painting de John Mac Laughton.

George Condo a investi l’histoire de l’art et chacune de ses toiles correspond avec un tableau préexistant, qui peut être de Manet, Picasso, Francis Bacon, Dali ou Vélasquez. Il se présente comme un artiste hybride qui aurait assimilé l’héritage européen du point de vue de l’Amérique. Il s’appuie sur ce dialogue afin d’apporter un éclairage ou de mettre en perspective sa propre vision des corps et de l’espace dans ses oeuvres. Condo peint des vanités, des natures mortes, des portraits, des nus à l’érotisme provocant, « toute une collection de choses » affirme-t-il.

Enfant du Pop Art, Condo revendique un style emprunté qui provoque un sentiment de « déjà vu « et de « déjà peint ». « Mes oeuvres évoquent Picasso, Matta, les peintres flamands et leurs cousins espagnols Goya et Vélasquez, et aussi tout ce que m’a montré depuis mon enfance ce musée qu’est la télévision. » Il qualifie son art de « réalisme artificiel » et cherche à offrir une reproduction crédible d’un monde factice. Il a, par exemple, emprunté à l’univers des dessins animés le personnage fétiche de Big Red que l’on retrouve dans certaines de ses oeuvres mais … traité comme un Rembrandt ! Félix Guattari disait de lui : « En bref vous réinventez l’art moderne, plutôt que de le nier massivement. Vous démontrez par votre « passage à l’acte » inconscient que la peinture en tant que production de subjectivité est encore et toujours possible à condition d’être reprise à l’état naissant »

L’exposition présentera les oeuvres récentes des deux dernières années, huiles sur toile, d’importants dessins ainsi que des sculptures.

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